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Six écureuils androgynes

20 octobre 2012

Après

Ca y est. Je ne suis plus vierge. Je l'ai deja fait. le 20 octobre 2012. Comme ça, sans rien. Je l'avais programmé. J'avais pensé à tout. Absolument tout. Un pote de 15 ans. Je ressentais rien pour lui. Je pouvais l'utiliser. Le prendre, le jeter. Il prenait du plaisir, je souffrais le martyre. J'ai saignée. Beaucoup. C'était comme je l'avais imaginée. Je pensais juste être plus excitée. C'était nul. Après on s'est fait une chicha et je lui ai demandé de partir. Il l'as fait. J'ai vu des potes, j'avais le regard vide. Je me sens bizarre. Je me sens violée. Ca fait mal je sens que c'est percé. J'ai peur de toucher. J'ai peur de tout. J'ai pas pleuré. Il parait que la première fois c'est magique. Comme le premier baiser. Je n'ai jamais ressentie aucune magie. C'est une deception de plus. Enfin je voulais peut-être me tromper. Me dire qu'en fait c'est génial. Ca m'as juste donnée des nausées. En plus si ça a pété ça veut dire que je peux être enceinte. Ca serait très moche. Je le suis pas. Je me sens mal, bizarre, à nue. Et ça me fait encore mal..

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20 octobre 2012

Avant le sexe.

 

Me priver de la musique me permet de l’apprécier quand j’y ai accès.


Je comprends pas ce qui m’arrive. Il a 15 ans. Il me fait un effet de malade. Le coup de foudre. Dès le premier regard que je lui ai adressé. A partir de ce jour, tout a changé. J’avais un projet. Je l’ai revu, cru le revoir et je l’ai revu et revu. Sans cesse me surprenant. Sans cesse me terrifiant. Il me fait paniqué, me gêne. Il m’obsède. Deja à 1 mois et je suis deja in love. Assez rapidement. Je sais pas ce qui me fait craquer. Il est un mélange de Bryan Thomas et de J-R. Ça me tue tellement. Comment est-ce possible ? Seulement envisageable ? 

On dit qu’il est beau ou moyen. Il me rends malade. Tout le monde craque pour lui. Je suis plus d’humeur à l’amour. Je veux pas ruiner mon année en faisant ça.  Je suis sans cesse en combat. Ma raison me dit d’arreter ça tout de suite. C’est de la pure folie. Et la folie ça se termine jamais bien. C’est une maladie chez moi pas un heureux évenement.

L’autre veut me faire rever. Me faire partir. Je suis in love. Et je ne sais rien de lui. Ou habites t-il ? 
Aucune idée. Quel est ses passions ? Comment sont ses parents ? Pourquoi me fait-il autant d’effet. Je flotte. C’est un mélange d’anxyolitique mélangée à du speed et de l’alcool. Ça me parylise. Je suis une pucelle face à lui. Je suis rien face à lui. Nada.  Un putain de coup de foudre. Et dire que j’y  croyais pas. J’y croyais même pas. Je sais pas ce qui se passe. Je crois que je vais adorer les cours d’allemand. ça passe trop vite. Le temps n’y est plus. ça n’existe plus. Les gens ne sont plus la. Il n’y a que lui et moi. Et la prof. Laissons ce détail. Mais quand il est la c’est puissant. Je comprneds pas pourquoi je réagis comme ça. Ce genre d’amour c’est tellement prépubére. Je comprends pas . Je désespère. Il est indifférent à moi. ça se voit.
IL NE VAS RIEN SE PASSER ENTRE VOUS. CE N’EST PAS LA REALITE. ET TU VAS ARRETER çA DIRECT. PUTAIN JE CROYAIS ETRE SOIGNE JE SUIS BIEN LOIN DE LA GUERISON. JE COMPRENDS PAS. BRYAN NE T’AS JAMAIS AIME. TOUT COMME THOMAS OU ABEL. ILS NE T’ONT JAMAIS AIME. PERSONNE NE T’AS JAMAIS AIME. MIS A PART TES AMIES, TA FAMILLE. ALORS AIMES TOI SUFFISAMMENT POUR NE PAS TE LAISSER AVOIR. ET CONCENTRE TOI SUR TES ETUDES ET NON SUR LA GENTE MASCULINE.
t’es pas à St-Joseph pour rien. Les conneries comme ça tu laisses tomber.

c’est la seule chose qui me relie au monde. Ecrire pour ne pas devenir folle. Se concentrer sur ses etudes.

J’ai tellement rechuté, que je ne sais même plus si je survivrai. Et me revoila, sous emprise de médicaments, la tête confuse, l’envie de sauter d’un pont.  Le dégout de soi..
et puis les vertiges, les au-delas de la réalité. Lorsque l’imagination prends le dessus, lorsque les mots chantent au leiu de se placer dans un ordre méticuleux. Je suis un oiseau qui vole loin,loin de sa cage mais qui s’aperçoit alors l’apparence de cette vielle et rouillé emplacement d’emprisonnement. se concentrer pour ecrire. Penser sans aucune limite. Ouvrir tous ces chacras, repartir dans cette partie de moi capable de s’envoler. Je sais pas plus je repnse à notre relation moins je comprends ce qui se passe. Je ne sais tellement pas ce qui se passe dans ta tête et je ne te veux aucun mal ni te déranger. Mais si tu penses comme moi et que je te manque aussi, il est tellement bête de s’éviter. Je ne suis pas amoureuse de toi. Mais toi un moment tu l’étais. Ou bien est-ce faux ? Je m’en fous de draguer autrui, quelque chose s’est brisée en moi. Je ne sais pas comment l’expliquer. Je crois que mon coeur s’est glacé quand j’ai compris. Mais en faite je ne comprends rien. Tu veux qu’on soit amis ? Mais tu ne prends jamais de nouvelles.je ne t’interrese pas alors pourquoi me parlais tu. Pourquoi toutes ces insinuations. Qu’est-ce qu’on était ? Des amis ? Alors pourquoi tu n’es pas la quand j’ai besoin de toi ? Je veux juste un calin et m’endormir sur ton torse. Juste paisiblement. Je comprends pas. Je comprends rien. A quoi tu penses ? AMBIGUE. notre relation était ambigue. Des fois je crois que j’ai inventé tout ce que j’ai vu. 


Je comprends rien. Pourquoi cette réponse ? Elle n’avait aucun sens.

Je regarde l’avenir sans crainte. Tu n’es pas à côte de moi. Tu ne penses jamais à moi. Tu penses brèvement à moi. Je ne fais plus partie de ta vie.
Mais tu fais toujours partie de la mienne. Quelle injustice. J’aimerai pouvoir m’amuser mais rien n’est à ta hauteur. A par ce gars. Chaud lapin, petit puceau. Surdoué. Venant de Paris, habitant en Suisse, Italien. Métisse grand. Tu représente absolument tout. Tout ce que je désire. Le hasard m’a fait te rencontrer. Mais tu ne m’apprécie même pas. Tu n’as même pas pris le temps de me connaître. Et j’essaye encore. Comment attirer un gars vers toi. C’est la question que je me pose. Doit bien il y a avoir des techniques. ça doit pas être si compliqué que ça. Je ne sais pas.


Retomber. Encore, encore, encore. La vie n’as pas de sens. Pas de règle, pas d’explication. Pas de direction. On vit seul. Personne ne sait ce que ça fait de vivre dans une société anarchique. Comment peuvent-ils être au courant. Au fait, on ne sait du passé que ce qu’on a appris. On ne sait de la vie que ce qu’on a vu, entendu ou lu. Personne n’a de réponse exact de vérité. Chacun ses opinion. La phrase la plus fermée que je connais. Limite à l’extreme d’une dictature démocratique. J’ai décidé d’exploiter mes capacités. Pas de les laisser repartir. Se concentrer. Connecté ses neurones vers un point bien précis. Ne pas perdre l’attention. Elle est si rare. Si précieuse. La liberté de penser, je ne suis même pas sure de l’avoir déjà eu. Peu de gens ignorent même qu’ils ne l’ont pas. Ils se croient “baiser par la société“, ignorant leur ennemis. Donnant des mots sur des choses qu’ils ne cernent même pas. Ils sont stupide. Pas seulement. Mais il y a de la stupidité à l’intérieur d’eux mêmes, trop. Les intellectuels sont rares, la race n’a que très peu évolués. Il faut du temps pour que je sois considérée comme sous-douée. Je préférerais être débile si je ne savais pas que , sans des gens avec ma capacité, les barbares dirigeraient le monde. Ceux qui se passe actuellement encore. Ils sont trop bestial pour se détacher du pouvoir. Ne philosophe pas. Comment ce fait-il qu’aucun philosophe ne soit au pouvoir ? Dans l’Antiquité les penseur dirigeaient les monde. Aujourd’hui ce sont les sophistes, les menteurs, les charismatiques, les langues de bois, les hypocrites. Ils ne sont pas mauvais. Ils sont juste imparfait. On met une pression énorme à une personne qui s’est battu toute sa vie pour s’accomplir. S’il se rends compte de ses responsabilité, il se suicide, sinon il vit dans le déni. je suis une petite soeur non majeure sous la tutelle de mes parents qui sont sous les ordres de la communes, sous la direction du canton, sous la puissance du pays obéissant aux règles mondiales. Je suis minuscule. Je suis plus petite qu’une poussière. Et mon âme, elle, divague sans va, bouscule l’univers. Et je ne sors pas un moment. Je m’enferme dans la conformité de ma vie, qui on peut le dire, construite par moi-même. J’ai choisis de respecter de nombreuses choses, lois. On m’a forcé plusieurs fois, on m’a poussé vers ce chemin qu’on dit droit, celui qui ne dévie pas, qui ne part pas en couille. J’ai dérapé, quelque fois égarée, mais je l’ai toujours jusqu’alors suivie. Et si demain je partais ? Je prends le train. Je fais de l’autostop je vole, je mange, je couche, je parle aux SDFs, je parle aux retraités. J’écoute, j’emmagasine. Je ne dis rien. OU que des futilités. Comment dire aux mondes qu’on se sent seule, incomprise. Comment exprimer son incompréhension totale. Comment accepter et demander de l’aider. Comment s’aimer ?
Comment être bien dans sa peau ? Je passe de l’amour à la haine. J’ai sans cesse besoin d’être guider. Sans cesse besoin d’être parfaite sous tous les plans. Je ne peux pas échouer. Sinon je déprime. Sinon je ne vis plus.
Je peux tout t’oublier. I need to get my stories strangled.
Boire, oublier, fumer, oublier, rêver, oublier, rire, oublier.
Oublier. ne plus y penser. Quand on s’accroche à des souvenirs que ton cerveau te prie de supprimer, tu crées un paradoxe, tu te détruis. Tu ne survis pas. Je vais jouer à un jeu. Et si.
Et si je n’avais pas détruit la vie de ma mère. Et si Sophie était restée à côté de moi. Et si avec Thomas ça avait marché. Et si j’avais ma place dans la famille. Et si je n’avais pas toujours envie de sauter d’un immeuble.

Et si. J’aurai les ongles longs, le sourire aux lèvres, mais pas tout le temps. Pas un moyen de faire croire que tout va bien. Un vrai. Décontracté. Je serai plus affirmée. Je concentrerai mon intelligence dans les études. J’aurai un copain qui m’aimerait. Je serai comme Helena.

Mais je ne suis rien de tout ça. Je suis bloqué. Je suis triste. Je suis mal. Pourquoi je pleure ? On ne pardonne pas tout. Tout ne passe pas avec pas le temps. Les cicatrices restent, les blessures font toujours aussi mal. Je me sens tellement depossédé. J’en ai marre de me battre. J’en ai marre de me battre. Je ne peux plus me battre. Je ressens l’envie de sauter d’un pont. JE NE PEUX PLUS ME BATTRE.help.

J’ai peu écrit sur mon papa. Je l’ai tant haïs. A cause de ma mère- Il a été la victime de mon mal-être.
Stephane. What the fuck. Tu viens d’ou ?
  Je suis amoureuse et moche. ça craint un peu.

Aujourd’hui j’ai du allé chez le juge. J’avais peur, je n’en revenais pas. ça me terrifiait j’imaginais une grande salle, c’était très intimidant. Je savais pas quoi faire, comment répondre. J’ai cru que je ne pouvais plus rien faire. Puis, il a parlé cité son blabla habituel. Des termes plus ou moins compliqué. Je comprenais à peine les nuances du language qu’il utilisait. Puis il m’a posé des questions. Il en avait rien à faire. C’était son rôle. Et un de plus. Et puis la femme à côté noté. J’avais l’impression qu’on écrivait mon CV. Que c’était pas si grave.
Je me suis détendue. Mr. le juge a posé des questions à mon père. Il répondait semi-maladroitement. semi-jesaiscommentgérélachose. C’est tout. C’était simple. Je n’arrêtais pas de fixer la peintre accrochée au mur. C’est de l’art abstrait. Des sortes de pics partant du vert pour arriver au bleu passant par le blanc était dessiné. Je me sentais bien seule, un peu exhibé.

6 septembre 2012

Belles musiques



Les musiques que je préfère actuellement:

Never let me go - Florence and the machine

XXYYXX et toutes ses chansons

Carmen - Lany del Rey

Skip the use - Ghosts

We are young

Strange people - the Doors

Am I free - Wax Taylor

6 septembre 2012

La frustation



Freaky1

« Tendresse maternelle Toujours se renouvelle.  »

Je viens de me disputer avec ma mère. Pour la cinquentième fois. Elle ne veut pas m'amener en voiture. Elle prefère dépenser 50 euros pour un taxi. Elle parle d'écologie, de principe.. Elle trouve des excuses. Elle est pire que moi. Des fois, j'en peux plus. Alors quand elle m'a demandé de venir l'aider, j'ai dit non. J'en avais marre. Je voulais m'affirmer. Je comprends qu'elle pète un cable, mais je peux pas faire autrement. J'avais envie de répit, besoin d'être seule. Personne n'est là pour me comprendre et essayer ne ferait qu'empirer mon état. Je suis entre deux mondes. Deux mondes de merde. J'ai cru que l'internat rendrais ma vie meilleure, elle ne l'a fait que l'empirer. Ça me rends malade. J'aimerai tout arrèter un instant. je veux seulement de la paix, de l'amour et de la liberté. Je veux vivre, heureuse. Et peu de personnes le sont réellement. J'en peux plus. Je veux juste être bien. Je viens de me disputer avec ma mère, et ça m'as fait mal. Parce que je l'aime, qu'elle m'aime mais pour des raisons à la con, on termine en pleurs.

5 septembre 2012

D'anciens à Aujourd'hui, 5 septembre 2012

Enfin terminé mes anciens textes. Tant de commencer à me renouveler. D'ailleurs ce texte parle du nouveau.



Septembre 2012

http://www.youtube.com/watch?v=32Js2Ef5Ojg

Je vis dans un autre monde. Je vis différemment. Je tourne compleement. J’ai basculé vers l’autre côté. C’EST LE MOMENT DE PROUVER QUE TU PEUX REUSSIR. C’EST LE MOMENT DE TE DIRE QUE TU PEUX CHANGER, TOUT RECOMMENCER, QUE TU PEUX CHANGER. PEUT-ETRE PAS TE RENIER MAIS CHANGER LA PERCEPTIONS DE MON MONDE. TON MONDE ENTIER, TA NAISSANCE, TON PASSE, TES PLEURS, TES VICTIMISATIONS, TES ENERVEMENTS, TES PASSIONS. IL EST TEMPS QUE JE PUISSE TOUT CHANGER. JE NE PEUX PAS CHANGER MON PASSE MAIS JE PEUX LE VOIR DIFFEREMMENT POUR QUE MON FUTUR CHANGE. JE N’AI PAS A AVOIR HONTE DES CHOIX QUE JE PRENDS ACTUELLEMENT. J’AI LE DROIT à L’AMOUR. J’AI ENVIE D’ETRE AIME. IL Y A PAS DE MAL. LE PLAISIR N’EST EN RIEN DU MAL. J’AI LE DROIT AUX PLAISIRS. ET L’AMOUR C’EST PAS POUR MOI.
UNE FOIS QUE T’AS COMPRIS çA TU POURRAS ENFIN VIVRE TA VIE TELLE QUE TU VEUX. JE SUIS UNE EGOISTE ET JE L’ASSUME. UNE PUTE OK. C’EST VRAI, ET ALORS ?
J’AI LE DROIT DE L’ETRE. je crois que je t’aimais trop pour être moi-même.
ça fait longtemps que je n’ai plus écrit. Je crois que j’avais peur de t’affronter encore. Toi ma conscience, toi qui n’est ni physique ni touchable. Celui qui peut me juger si cruellement, celui qui me fait froid dans le dos. Et j’ai peur, je suis terrifée. Je suis dans une nouvelle école, dans une nouvelle maison et je me sens seule. Tout le temps. Je ne les connais pas, ils ne me connaissent pas. Des fois je ne sais même plus ce que je fais .. Au fond le probleme c’est pas les autres c’est moi. Alors qu’elle est la solution, qu’est ce que je dois faire ? Je sais pas . Je ne sais plus ..
31 personnes dans la classe. C’est énorme. 100 personnes dans l’internat.. C'est giganstesque. Deux jours dans cette école et je veux pleurer. Encore que deux ans. Et aucune garantie que ma vie s'améliora. Ne pas craquer. L'internat je l'ai décidé. Être dans celui là c'est juste une punition de mes parents. Tant pis je vais faire avec. Maintenant je ne serai plus jamais seule. A chaque fois que j'écrirai, je saurai que 8 milliard de personne peuvent me connaître. 

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5 septembre 2012

Anciens textes neuvième partie

A la fin, je suis une amie pour lui. Lorsque je l'ai compris j'étais soulagée. Au fond, je n'étais que folle amoureuse à l'idée de l'aimer.



Aout 2012

 

images

J’ai à nouveau peur. Mais cette fois, je n’ai pas peur de rester dans mon état actuel. J’ai peur de sombrer, de tout faire foirer. Je fais des erreurs. Pleins. Il ne l’a jamais remarqué. Enfin si, mais il n’as jamais rien dit. Dan je t’aime. Je sais que je t’aime. Et je veux qu’on finisse ensemble qu’on est pleins de bébés, au du moins découvrir le monde des adultes avec toi. Je veux une belle romance. Je t’aime. Peu importe de ce que pensent les gens. Je n’ai besoin que de ton avis. J’ai envie que tu m’embrasses. Très passionement. Et plus attendre. Je t’aime. Je t’aime, j’ai pas envie de tout gacher. Mais il y a Thomas. Et je sais pas ce que je ressens pour lui. Je me sens toute petite à côté de lui. Il ressemble tellement à ce que j’ai vécu et d’ou je viens. Il est mon passé, mon raccord au passé.
J’ai recherché l’image du père dans mon grand-père sans le savoir, et bavé sur une personne lui ressemblant...
C’est Dan. Peu importe. C’est lui que je veux dans mes bras.
Mais je n’ai pas envie qu’il choisisse entre Thomas et moi.
Mais je me tue si je passe une soirée avec les deux.
Je déglutirai tellement souvent. J’ai envie de lui. J’ai besoin de toi. J’ai besoin de toi. J’ai vraiment besoin de toi. Tu me manques. Tu me manques. Tu me manques. Tu me manques.

amour ou amitié, amour ou amitié, amour ou amitié, amour ou amitié, amour ou amitié, amour ou amitié, amour ou amitié.

Je pourrais vivre 200 histoires. Je n’en vis qu’une. Enfin je ne fais que la rêver

J’ai peur. Je crains le refus. Je crains le rejet. Je crains le malheur. Je veux toi. Est-ce que tu veux moi ?
Est-ce que tu m’aimes. Est-ce que tu m’aimes. Est-ce que tu m’aimes.
Tu ne m’aimes pas. Ok tu m’aimes bien. C’est un fait. Ou ?
Oui c’est un fait. Et il me trouve jolie.

5 septembre 2012

Anciens textes huitième partie

No comment.



Juillet 2012

 

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<<Folie ne veut pas dire vérité. Seulement vérité pas acceptable>>

 

 

Je vais arrêter de fumer. Il faut que j’arrête. L’alcool aussi. L’alcool me rends dépressive, le joint me fait perdre la tête. Les deux mélangés et c’est la mort pour moi.
Je n’en ai pas besoin. C’est un médicament foireux. Je ne suis pas conne. Je ne suis pas conne. Je ne suis pas conne. Et arrêter d’essayer de me faire aimer. J’ai le droit d’être aimer. J’ai le droit d’être aimer. J’ai le droit d’être aimer. Pas besoin à tout prix de me compliquer la vie, de me mentir, de me changer pour y arriver. J’ai le droit tout court.
J’ai l’impression que je vais trop souvent mal. Je n’exagère pas mon mal. Pourquoi je le ferai dans mon propre journal ? Ai-je déjà dit à quelqu’un que j’allais mal ?
Je raconte très voire trop souvent mes malheurs, peu souvent ma souffrances. Quand je le fais, j’en parle en tant que fait. Je ne parle jamais de l’aspect insupportable. On ne dit jamais qu’on aimerait se suicidait. Ça ne se dit jamais, c’est trop moche. Trop abjecte de la société. Je l’aurai remis en cause celle-là. Bien trop souvent. Je ne sais pas à qui parler. En faite, j’ai personne à qui me confier. Mes amies proches sont superficielles. Même ma famille l’est. Personne. Je ne me confie à personne. Je n’ai que mes propres pensées. Je sais comment on peut devenir fou. Je le suis, et c’est horrible de me l’avouer. J’ai des faiblesses, qui se rapproche de la folie. Et je dois les assumer ou les soigner.  Je dois les assumer ou les soigner.
Qu’est-ce que je dois faire ? Je ne veux ni les assumer, et ne peux pas les soigner toute seule.

 

5 septembre 2012

Anciens textes septième partie

Petite rechute (l'idée de blog me vint alors..)



Juillet 2012

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« Ecrire c'est une respiration ! »

 

Des fois je me sens comme hors de moi. Je ne sais plus qui je suis. Je croies que je suis pris du symptome de la dépersonnalisation. Là maitenant, j’ai l’impression que mes souvenirs ne sont pas les miens. Je sais que c’est faux. Je m’en rends bien compte. Pendant un très long moment je les ai acquis. Je le sais. Je le sais. J’essaye sérieusement de continuer. Mais beaucoup me dise qu’on ne peut pas réussir seule. Tout le monde me dit que j’ai besoin ‘‘d’aide’’. Un psy quoi. Mais si jamais ça ne marche pas.
ça fait longtemps que j’ai arrêté d’écrire. J’avais peur. Peur de ne pas assez être à la hauteur du passé. Il faut tout le temps se surpasse, évoluer, on ne peut pas faire d’erreur. Il y a des conséquences et des fois elles peuvent être très dure. Je fais pleins d’erreurs. C’est comme si j’avais un flingue sur ma tempe et que je m’amusai à tirer pour savoir si les balles étaient à blanc ou pas. Des fois je perds.
Des fois ça craint.

 

 

5 septembre 2012

Anciens textes sixième partie

À toi mon ami, que j'ai cru aimer.



Juillet 2012

 

 Bordel, pourquoi je n’arrive pas à t’oublier. Ma tête hurle, elle n’en peut plus. C’est une douleur affreuse et constante. Elle n’a aucun répit et me suit même dans mes rêves.
J’en ai marre. J’ai tellement envie d’abandonner. Mais je ne peux pas. Je dois continuer dans ce même rituel vicieux qui me fait repousser mes limites du desespoir. Encore et toujours. Je suis fatiguée.
Des fois j’en ai marre d’espérer, de me dire peut-être. De me convaincre. On ne peut pas forcer les gens à nous aimer. S’ils nous aiment pas, c’est tant pis. Il faut savoir accepter ça. Je veux devenir forte, arrêter de me lamenter sur mon sort sans agir et voir ma vie au lieu de la vivre. ça m’a fait un bien fou hier. J’ai vraiment kiffé.
Tu me manques. Je ne veux pas que tu me manques, mais c’est le cas. Ca fait mal, tout le temps c’est constant. Je me drogue pour dormir, je suis un zombie le jour. C’est les vacances mais j’en ai rien à foutre. Je te veux juste toi. Je me laisse aller. J’en peux plus, je te veux de tout mon être, chaque cellule de moi-même te réclame. Je te désire, t’aime et tu es indispensable à moi-même. Je laisse mes désirs prendre le dessus. Je sais qu’il n’y a aucune rationalité à l’amour que je porte pour toi, mais je ne sais pas comment l’éteindre. C’est un feu qui saccage tout je ne sais pas comment j’ai pu l’alimenter. Je suppose qu’un jour j’ai imaginé la vie avec toi. Ca m’a fait un tel bien que j’ai continué, j’ai imaginé nos enfants. Si tu les voyais, ils sont magnifiques. La fille fait un mètre soixante-dix, à la peau un peu mate, les yeux bleus, tes lèvres, un mélange de nos nez. Elle est brillante à ta douceur, ma persevérance. Elle est belle, très belle. Elle est fine mais élégante et tout le monde l’aime.

5 septembre 2012

Anciens textes cinquième partie

Ce texte là est l'un des plus paisible que je n'ai jamais fait. Certains disent que je suis en dépression. Je crois pas. Je suis à la recherche du bonheur, et des fois des trucs pas faciles m'arrivent. Ça s'arrètent là.




Juin 2012

 

rue-du-bonheur

Le bonheur c’est un bâtiment sans aucune base solide qu’on construit chacun à sa manière. Plus il possède d’étage, plus on risque de se faire mal. Tout peut s’écrouler en un instant. Sans prévenir, d’un coup sec ou petit à petit. C’est pernicieux.  Et pourtant je continue d’y croire. Jamais je n’ai été débordante de bonheur. Excepté le 24 février 2012. Ce fut l’instant le plus magnifique de ma vie. TOUT allait bien. Et si ça s’est terminé, ce ne fut que de ma faute. J’ai gaché ma chance de ne pas souffrir pour pouvoir viser mieux. J’ai sauté d’une falaise pour décrocher les étoiles. Je ne fais que tomber, me rendant compte que le sol, tout ce qui me retenait à la vie se dérobe sous moi. Je ne ressens que l’angoisse et quelques souffrances pour l’instant. Je ne veux pas imaginer l’impact du sol et j’espère que ce n’est pas un vide sans fin.

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