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Six écureuils androgynes
20 octobre 2012

Avant le sexe.

 

Me priver de la musique me permet de l’apprécier quand j’y ai accès.


Je comprends pas ce qui m’arrive. Il a 15 ans. Il me fait un effet de malade. Le coup de foudre. Dès le premier regard que je lui ai adressé. A partir de ce jour, tout a changé. J’avais un projet. Je l’ai revu, cru le revoir et je l’ai revu et revu. Sans cesse me surprenant. Sans cesse me terrifiant. Il me fait paniqué, me gêne. Il m’obsède. Deja à 1 mois et je suis deja in love. Assez rapidement. Je sais pas ce qui me fait craquer. Il est un mélange de Bryan Thomas et de J-R. Ça me tue tellement. Comment est-ce possible ? Seulement envisageable ? 

On dit qu’il est beau ou moyen. Il me rends malade. Tout le monde craque pour lui. Je suis plus d’humeur à l’amour. Je veux pas ruiner mon année en faisant ça.  Je suis sans cesse en combat. Ma raison me dit d’arreter ça tout de suite. C’est de la pure folie. Et la folie ça se termine jamais bien. C’est une maladie chez moi pas un heureux évenement.

L’autre veut me faire rever. Me faire partir. Je suis in love. Et je ne sais rien de lui. Ou habites t-il ? 
Aucune idée. Quel est ses passions ? Comment sont ses parents ? Pourquoi me fait-il autant d’effet. Je flotte. C’est un mélange d’anxyolitique mélangée à du speed et de l’alcool. Ça me parylise. Je suis une pucelle face à lui. Je suis rien face à lui. Nada.  Un putain de coup de foudre. Et dire que j’y  croyais pas. J’y croyais même pas. Je sais pas ce qui se passe. Je crois que je vais adorer les cours d’allemand. ça passe trop vite. Le temps n’y est plus. ça n’existe plus. Les gens ne sont plus la. Il n’y a que lui et moi. Et la prof. Laissons ce détail. Mais quand il est la c’est puissant. Je comprneds pas pourquoi je réagis comme ça. Ce genre d’amour c’est tellement prépubére. Je comprends pas . Je désespère. Il est indifférent à moi. ça se voit.
IL NE VAS RIEN SE PASSER ENTRE VOUS. CE N’EST PAS LA REALITE. ET TU VAS ARRETER çA DIRECT. PUTAIN JE CROYAIS ETRE SOIGNE JE SUIS BIEN LOIN DE LA GUERISON. JE COMPRENDS PAS. BRYAN NE T’AS JAMAIS AIME. TOUT COMME THOMAS OU ABEL. ILS NE T’ONT JAMAIS AIME. PERSONNE NE T’AS JAMAIS AIME. MIS A PART TES AMIES, TA FAMILLE. ALORS AIMES TOI SUFFISAMMENT POUR NE PAS TE LAISSER AVOIR. ET CONCENTRE TOI SUR TES ETUDES ET NON SUR LA GENTE MASCULINE.
t’es pas à St-Joseph pour rien. Les conneries comme ça tu laisses tomber.

c’est la seule chose qui me relie au monde. Ecrire pour ne pas devenir folle. Se concentrer sur ses etudes.

J’ai tellement rechuté, que je ne sais même plus si je survivrai. Et me revoila, sous emprise de médicaments, la tête confuse, l’envie de sauter d’un pont.  Le dégout de soi..
et puis les vertiges, les au-delas de la réalité. Lorsque l’imagination prends le dessus, lorsque les mots chantent au leiu de se placer dans un ordre méticuleux. Je suis un oiseau qui vole loin,loin de sa cage mais qui s’aperçoit alors l’apparence de cette vielle et rouillé emplacement d’emprisonnement. se concentrer pour ecrire. Penser sans aucune limite. Ouvrir tous ces chacras, repartir dans cette partie de moi capable de s’envoler. Je sais pas plus je repnse à notre relation moins je comprends ce qui se passe. Je ne sais tellement pas ce qui se passe dans ta tête et je ne te veux aucun mal ni te déranger. Mais si tu penses comme moi et que je te manque aussi, il est tellement bête de s’éviter. Je ne suis pas amoureuse de toi. Mais toi un moment tu l’étais. Ou bien est-ce faux ? Je m’en fous de draguer autrui, quelque chose s’est brisée en moi. Je ne sais pas comment l’expliquer. Je crois que mon coeur s’est glacé quand j’ai compris. Mais en faite je ne comprends rien. Tu veux qu’on soit amis ? Mais tu ne prends jamais de nouvelles.je ne t’interrese pas alors pourquoi me parlais tu. Pourquoi toutes ces insinuations. Qu’est-ce qu’on était ? Des amis ? Alors pourquoi tu n’es pas la quand j’ai besoin de toi ? Je veux juste un calin et m’endormir sur ton torse. Juste paisiblement. Je comprends pas. Je comprends rien. A quoi tu penses ? AMBIGUE. notre relation était ambigue. Des fois je crois que j’ai inventé tout ce que j’ai vu. 


Je comprends rien. Pourquoi cette réponse ? Elle n’avait aucun sens.

Je regarde l’avenir sans crainte. Tu n’es pas à côte de moi. Tu ne penses jamais à moi. Tu penses brèvement à moi. Je ne fais plus partie de ta vie.
Mais tu fais toujours partie de la mienne. Quelle injustice. J’aimerai pouvoir m’amuser mais rien n’est à ta hauteur. A par ce gars. Chaud lapin, petit puceau. Surdoué. Venant de Paris, habitant en Suisse, Italien. Métisse grand. Tu représente absolument tout. Tout ce que je désire. Le hasard m’a fait te rencontrer. Mais tu ne m’apprécie même pas. Tu n’as même pas pris le temps de me connaître. Et j’essaye encore. Comment attirer un gars vers toi. C’est la question que je me pose. Doit bien il y a avoir des techniques. ça doit pas être si compliqué que ça. Je ne sais pas.


Retomber. Encore, encore, encore. La vie n’as pas de sens. Pas de règle, pas d’explication. Pas de direction. On vit seul. Personne ne sait ce que ça fait de vivre dans une société anarchique. Comment peuvent-ils être au courant. Au fait, on ne sait du passé que ce qu’on a appris. On ne sait de la vie que ce qu’on a vu, entendu ou lu. Personne n’a de réponse exact de vérité. Chacun ses opinion. La phrase la plus fermée que je connais. Limite à l’extreme d’une dictature démocratique. J’ai décidé d’exploiter mes capacités. Pas de les laisser repartir. Se concentrer. Connecté ses neurones vers un point bien précis. Ne pas perdre l’attention. Elle est si rare. Si précieuse. La liberté de penser, je ne suis même pas sure de l’avoir déjà eu. Peu de gens ignorent même qu’ils ne l’ont pas. Ils se croient “baiser par la société“, ignorant leur ennemis. Donnant des mots sur des choses qu’ils ne cernent même pas. Ils sont stupide. Pas seulement. Mais il y a de la stupidité à l’intérieur d’eux mêmes, trop. Les intellectuels sont rares, la race n’a que très peu évolués. Il faut du temps pour que je sois considérée comme sous-douée. Je préférerais être débile si je ne savais pas que , sans des gens avec ma capacité, les barbares dirigeraient le monde. Ceux qui se passe actuellement encore. Ils sont trop bestial pour se détacher du pouvoir. Ne philosophe pas. Comment ce fait-il qu’aucun philosophe ne soit au pouvoir ? Dans l’Antiquité les penseur dirigeaient les monde. Aujourd’hui ce sont les sophistes, les menteurs, les charismatiques, les langues de bois, les hypocrites. Ils ne sont pas mauvais. Ils sont juste imparfait. On met une pression énorme à une personne qui s’est battu toute sa vie pour s’accomplir. S’il se rends compte de ses responsabilité, il se suicide, sinon il vit dans le déni. je suis une petite soeur non majeure sous la tutelle de mes parents qui sont sous les ordres de la communes, sous la direction du canton, sous la puissance du pays obéissant aux règles mondiales. Je suis minuscule. Je suis plus petite qu’une poussière. Et mon âme, elle, divague sans va, bouscule l’univers. Et je ne sors pas un moment. Je m’enferme dans la conformité de ma vie, qui on peut le dire, construite par moi-même. J’ai choisis de respecter de nombreuses choses, lois. On m’a forcé plusieurs fois, on m’a poussé vers ce chemin qu’on dit droit, celui qui ne dévie pas, qui ne part pas en couille. J’ai dérapé, quelque fois égarée, mais je l’ai toujours jusqu’alors suivie. Et si demain je partais ? Je prends le train. Je fais de l’autostop je vole, je mange, je couche, je parle aux SDFs, je parle aux retraités. J’écoute, j’emmagasine. Je ne dis rien. OU que des futilités. Comment dire aux mondes qu’on se sent seule, incomprise. Comment exprimer son incompréhension totale. Comment accepter et demander de l’aider. Comment s’aimer ?
Comment être bien dans sa peau ? Je passe de l’amour à la haine. J’ai sans cesse besoin d’être guider. Sans cesse besoin d’être parfaite sous tous les plans. Je ne peux pas échouer. Sinon je déprime. Sinon je ne vis plus.
Je peux tout t’oublier. I need to get my stories strangled.
Boire, oublier, fumer, oublier, rêver, oublier, rire, oublier.
Oublier. ne plus y penser. Quand on s’accroche à des souvenirs que ton cerveau te prie de supprimer, tu crées un paradoxe, tu te détruis. Tu ne survis pas. Je vais jouer à un jeu. Et si.
Et si je n’avais pas détruit la vie de ma mère. Et si Sophie était restée à côté de moi. Et si avec Thomas ça avait marché. Et si j’avais ma place dans la famille. Et si je n’avais pas toujours envie de sauter d’un immeuble.

Et si. J’aurai les ongles longs, le sourire aux lèvres, mais pas tout le temps. Pas un moyen de faire croire que tout va bien. Un vrai. Décontracté. Je serai plus affirmée. Je concentrerai mon intelligence dans les études. J’aurai un copain qui m’aimerait. Je serai comme Helena.

Mais je ne suis rien de tout ça. Je suis bloqué. Je suis triste. Je suis mal. Pourquoi je pleure ? On ne pardonne pas tout. Tout ne passe pas avec pas le temps. Les cicatrices restent, les blessures font toujours aussi mal. Je me sens tellement depossédé. J’en ai marre de me battre. J’en ai marre de me battre. Je ne peux plus me battre. Je ressens l’envie de sauter d’un pont. JE NE PEUX PLUS ME BATTRE.help.

J’ai peu écrit sur mon papa. Je l’ai tant haïs. A cause de ma mère- Il a été la victime de mon mal-être.
Stephane. What the fuck. Tu viens d’ou ?
  Je suis amoureuse et moche. ça craint un peu.

Aujourd’hui j’ai du allé chez le juge. J’avais peur, je n’en revenais pas. ça me terrifiait j’imaginais une grande salle, c’était très intimidant. Je savais pas quoi faire, comment répondre. J’ai cru que je ne pouvais plus rien faire. Puis, il a parlé cité son blabla habituel. Des termes plus ou moins compliqué. Je comprenais à peine les nuances du language qu’il utilisait. Puis il m’a posé des questions. Il en avait rien à faire. C’était son rôle. Et un de plus. Et puis la femme à côté noté. J’avais l’impression qu’on écrivait mon CV. Que c’était pas si grave.
Je me suis détendue. Mr. le juge a posé des questions à mon père. Il répondait semi-maladroitement. semi-jesaiscommentgérélachose. C’est tout. C’était simple. Je n’arrêtais pas de fixer la peintre accrochée au mur. C’est de l’art abstrait. Des sortes de pics partant du vert pour arriver au bleu passant par le blanc était dessiné. Je me sentais bien seule, un peu exhibé.

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  • ça ne vous ai jamais arrivé, d'avoir envie de tout écrire, de tout publier, votre vie, ce que vous pensez à tout le monde ? Pudique et timide comme je le suis j'ai décidé de me cacher sous un blog pour vous/me dire qui je suis.
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